Reine

d'Henri Murger. Les deux hommes sont alors amoureux de Lillian Gish mais la Duse de l'écran ne donne pas de suite, ainsi qu'elle le raconte dans ses mémoires Le cinéma, Mr. Griffith et moi.
Les grandes fresques
King Vidor est le cinéaste de fresques cinématographiques parmi les plus imposantes du xxe siècle. Sa vision ample et démiurgique du monde prend sa pleine mesure dans les films épiques dont il deviendra le spécialiste. Quelques exemples : La Grande Parade (1925) sur la Première Guerre mondiale, La Foule (1927) intimiste mais à la vision monumentale, Le Grand Passage (1940) sur les guerres indiennes, Une romance américaine (1944) épopée industrielle malheureusement amputée par les producteurs, Duel au soleil (1946), western de série B hypertrophié par D.O. Selznick et par la puissance visuelle de Vidor et enfin Salomon et la Reine de Saba (1958) ultime film du cinéaste et formidable péplum biblique.
D'une durée de 140 minutes, Une romance américaine, sa fresque sur l'industrie de l'acier (d'un budget record de trois millions de dollars) fut amputée de plus d'une demi-heure parce qu'il était urgent de multiplier les séances. Coupé sans l'aide du cinéaste, le film fut un immense échec et marqua la fin de la collaboration entre Vidor et la MGM. Lorsqu'il évoquera cet échec dans ses mémoires, Vidor semblera fortement marqué par cette expérience.
On note une adaptation dispendieuse et épique de Guerre et paix de Tolstoï en 1956, comptant dans sa distribution Henry Fonda, Audrey Hepburn et Anita Ekberg, et une version romancée de la vie de Frank Lloyd Wright avec Le Rebelle en 1949. Ce film lyrique et flamboyant, basé sur le roman à succès d'Ayn Rand, est considéré comme un des chefs d'œuvre du cinéaste et une des plus grandes performances de Gary Cooper. Selon Barthélémy Amengual, "plus soviétique que jamais par son amplification épique, cette geste évoque Dovjenko".
Fasciné par les bâtisseurs, les capitaines d'industrie, les chefs de guerre, en bref les « Bigger Than Life », il manifesta aussi un intérêt profond pour les anonymes et les oubliés des grandes sociétés, avec La Foule en 1928, Notre pain quotidien en 1934 ou Hallelujah en 1929, premier film de Hollywood entièrement interprété par des Noirs. Le mélodrame célèbre Le Champion en 1931, qui racontait l'amitié entre un petit enfant et un vieux boxeur raté, appartient lui aussi à la veine humaniste et sociale du cinéaste.
Les actrices

1 Histoire

 rapporte six points et donne droit soit à botter une transformation (« extra point » en anglais) qui rapporte un point, soit à une conversion qui, si elle est réussie, rapporte deux points.
Après un touché, au football canadien, l’équipe contre laquelle le touché a été marqué peut effectuer un botté d’envoi de sa ligne de 35 verges ou demander que l’équipe adverse (équipe ayant marqué) effectue le botté d’envoi de sa ligne de 35 verges1.
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1 Records
1.1 Football américain
1.2 Football canadien
2 Notes et références
La ville de Cheyenne (en anglais : [ʃaɪˈæn] ou [ʃaɪˈɛn]) est la capitale de l’État du Wyoming, aux États-Unis. C’est aussi la plus grande agglomération de l’État (59 466 habitants en 2010). Située au pied des montagnes Rocheuses, à une altitude d'environ 1 850 m, la ville se trouve à 160 km au nord de Denver, dans l’extrême sud-est du Wyoming.
Sommaire  [masquer]
1 Histoire
2 Monuments
3 Tourisme
4 Transports
5 Culture
6 Évêché
7 Notes et références
8 Liens externes
Histoire[modifier | modifier le code]

L'origine de la ville remonte au 4 juillet 1867, lorsque les premières tentes furent dressées sur le site actuel de Cheyenne. Le nom de la ville provient de la langue sioux qui signifiait « les étrangers ». Les premiers habitants de Cheyenne furent des hommes qui déménagèrent dans l'Ouest afin de travailler pour l'Union Pacific Railroad.
Lorsque la ligne fut terminée en novembre 1867, la majorité des colons quitta la ville. La ville continua malgré tout de prospérer, et ceci grâce à la proximité du fort DA Ru

el Curtiz, et John Cromwell qui la dirige à cinq reprises. Elle interprète également plusieurs comédie

ccède rapidement au vedettariat, partenaire de William Powell, Ronald Colman, Fredric March, Herbert Marshall, plus tard Edward G. Robinson, Errol Flynn, Leslie Howard, Claude Rains et Humphrey Bogart.
Elle débute au cinéma dans le studio Paramount qui emploie durant les années trente Marlene Dietrich, Claudette Colbert, Carole Lombard. Puis son contrat est racheté par la Warner « qui agence tout exprès pour elle de somptueux mélodrames »1 comme Voyage sans retour de Tay Garnett ou les films de Frank Borzage. Elle s'impose aussi dans la comédie avec Ernst Lubitsh.
Pendant presque dix années, elle tourne avec les plus grands réalisateurs : outre ceux précédemment cités, George Cukor, George Fitzmaurice, W. S. Van Dyke, Richard Boleslawski, Mervyn LeRoy, William Dieterle, King Vidor, Michael Curtiz, et John Cromwell qui la dirige à cinq reprises. Elle interprète également plusieurs comédies, sous la houlette des maîtres du genre (Leo McCarey, Norman Z. McLeod), partageant la vedette avec Jack Oakie ou Jack Benny, s'essayant aussi à la comédie musicale, mise en scène par Busby Berkeley, face au fantaisiste Al Jolson.
Elle s'impose en force en 1939 dans une composition secondaire (L'Autre de John Cromwell) mais dès 1940 elle est éclipsée par la jeune Deanna Durbin ; par la suite elle est de nouveau reléguée au second plan derrière Rosalind Russell et Diana Barrymore. La chute de sa popularité est telle que son salaire annuel de 227 5000 dollars et son statut au sein de la Warner font débat2. Elle se retire en 1946 à quarante-trois ans, « refusant catégoriquement de parler de son passé »1. La même année cependant, elle fit un retour remarqué à Broadway dans la production State of the Union.
Filmographie partielle[modifier | modifier le code]

Né dans une famille catholique irlandaise, il fait ses études au Missouri et a un premier emploi comme dessinateur de cartes de souhaits. Il déménage avec ses parents en Californie dans les années 1940. Il devient inspecteur en aviation, puis travaille dans les bureaux de diverses firmes avant de rencontrer Charles Beaumont qui le persuade de se lancer dans l’écriture. Ami de Ray Bradbury, né également au Missouri, il a la chance de publier des nouvelles de science-fiction et des fictions policières dans divers pulps à grands tirages. Il s’installe à Los Angeles en 1953 et, avec Beaumont, Bradbury et Richard Matheson, est l’un des membres du Southern California Group qui exerce un